2014, une année complexe pour les acteurs du web face à la N
Posté : jeu. 9 janv. 2014 17:59
(Article écrit par Vincent HERMANN de pcinpact.com)
Les diverses révélations autour de la surveillance imposée par le NSA et les agences équivalentes dans les autres pays ont jeté un épais nuage sur les entreprises procurant des services en ligne. Complices volontaires, victimes ? Un très long article du magazine Wired a justement tâché de faire le point sur cette problématique.
Apple, Facebook, Microsoft ou encore Yahoo ont très vite été concernées par les toutes premières révélations au sujet des programmes de surveillance américains. Mis en place essentiellement par la NSA, ils ont été largement décrits dans des documents dérobés par Edward Snowden. Des documents qui ont par la suite atterri entre les mains de plusieurs journalistes, notamment Glenn Greenwald du journal anglais The Guardian, ainsi qu’à d’autres rédactions telles que le New YorkTimes, le Washington Post ou encore Der Spiegel en Allemagne.
Les réactions de ces grandes entreprises ont été variées mais ont toutes plus ou moins suivi la même courbe. Elles avaient dans un premier temps un air légèrement affolé, se dépêchant de nier une participation volontaire. Lorsque Barack Obama prit cependant la parole pour la première fois à ce sujet, il ne renia pas cette surveillance, mais condamna l’action de Snowden tout en indiquant que les citoyens américains n’avaient rien à craindre. Mais le mal était déjà fait puisque la grande majorité des utilisateurs des services de ces entreprises se trouve dans le reste du monde.
La suite de l'article sur pcinpact.comLes réactions de ces grandes entreprises ont été variées mais ont toutes plus ou moins suivi la même courbe. Elles avaient dans un premier temps un air légèrement affolé, se dépêchant de nier une participation volontaire. Lorsque Barack Obama prit cependant la parole pour la première fois à ce sujet, il ne renia pas cette surveillance, mais condamna l’action de Snowden tout en indiquant que les citoyens américains n’avaient rien à craindre. Mais le mal était déjà fait puisque la grande majorité des utilisateurs des services de ces entreprises se trouve dans le reste du monde.