La police française raccordée à une base mondiale des téléph
Posté : mar. 26 nov. 2013 22:16
(Article écrit par Xavier BERNE de pcinpact.com)
La police, la gendarmerie et les douanes vont bientôt pouvoir accéder à une base de données alimentée par 114 opérateurs (présents dans 46 pays) et concernant les déclarations de vol de téléphones portables. Les autorités viennent en effet de signer un protocole, qui leur permettra de vérifier plus rapidement d’après le numéro IMEI d’un mobile s’il a été déclaré volé à l’étranger.
Que faire lorsqu’on se fait voler son téléphone portable ? Tout d’abord, il faut prévenir son opérateur, afin que celui-ci désactive la ligne correspondante. Si cette démarche permet d’éviter d’avoir de mauvaises surprises en recevant sa facture, elle ne permet cependant pas d’empêcher l’utilisation du mobile. C’est pour cette raison que depuis plusieurs années, les autorités ont multiplié les mesures visant à assurer le blocage des communications émises en France par un appareil déclaré comme volé.
Comment ? Lors du dépôt de plainte, il suffit de transmettre aux policiers ou aux gendarmes le numéro IMEI du téléphone dérobé. Depuis la LOPPSI 2 de 2011, les forces de l'ordre se chargent ensuite d'envoyer une copie du procès-verbal de la plainte à l’opérateur concerné, afin que ce dernier procède dans les quatre jours au blocage du mobile.
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