- ven. 10 janv. 2014 17:43
#91084
(Article écrit par Florian CHARPENTIER de tomshardware.fr)
Aussi incongru que l'idée puisse paraître, une des questions les plus difficiles à répondre chez les sportifs réguliers et bien sûr professionnels est de savoir quand ne plus s'entraîner. Le processus de progression physique est en effet assez strict dans la mesure où il repose sur l'enchainement deux étapes indissociables : la réalisation d'un entraînement (ou d'une série d'entraînements rapprochés) poussant le corps légèrement au-dessus de ses limites habituelles par rapport aux précédents entraînements (que cela concerne l'intensité ou le volume), puis le respect d'une phase de récupération complète ou semi-complète amenant la surcompensation.
Si ce principe est simple, son application reste plus complexe. Arriver à évaluer l'impact d'un entraînement sur le corps est beaucoup plus compliqué qu'on pourrait le penser du fait qu'il ne dépend pas seulement du contenu de l'entraînement lui-même, mais également de tout ce qui l'entoure (quantité de sommeil préalable, état de fatigue musculaire, stress psychologique, conditions météorologiques, statut hydrique, etc.).
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