- mer. 25 déc. 2013 19:51
#85824
Bonsoir,
Salah Jahin
Mohammad Salah Eldin Bahgat Helmy (صلاح الدين بهجت حلمى, IPA: [sˤɑˈlɑːħ el-, edˈdiːn ˈbæhɡæt ˈħelmi]), connu sous le nom de "Salah Jaheen" ou "Salah Jahin" (Arabic: صلاح جاهين, IPA: [sˤɑˈlɑːħ ʒæˈhiːn]; December 25, 1930 – April 21, 1986) était un poète égyptien, parolier, dramaturge et dessinateur.
Jaheen est né dans le District Shobra, au Caire en 1930 d’une famille de classe moyenne. Il étudia le droit à l’université du Caire en 1955, il commença à travailler pour le magazine "the Egyptian weekly" "Rose al-Yousef" en tant que dessinateur. Quelques année plus tard, il rejoindra le nouveau magazine "Sabah el-Khair" et sera son éditeur en chef, plus tard il rejoindra le célèbre Al-Ahram "les Pyramides".
Poète égyptien (Le Caire 1930 – 1986).
Journaliste et caricaturiste au journal al-Ahrâm, il opte pour le dialecte égyptien, pour composer une poésie toute de simplicité et d'espoir dans les idéaux révolutionnaires de l'Égypte nassérienne (le Mot Salâm, 1955 ; Complainte pour un canal, 1956 ; De lune et de boue, 1961 ; Quatrains, 1963 ; Mélodies de septembre, 1984).
Cet article est extrait de l'ouvrage Larousse « Dictionnaire mondial des littératures ».
Merci.
Salah Jahin
Mohammad Salah Eldin Bahgat Helmy (صلاح الدين بهجت حلمى, IPA: [sˤɑˈlɑːħ el-, edˈdiːn ˈbæhɡæt ˈħelmi]), connu sous le nom de "Salah Jaheen" ou "Salah Jahin" (Arabic: صلاح جاهين, IPA: [sˤɑˈlɑːħ ʒæˈhiːn]; December 25, 1930 – April 21, 1986) était un poète égyptien, parolier, dramaturge et dessinateur.
Jaheen est né dans le District Shobra, au Caire en 1930 d’une famille de classe moyenne. Il étudia le droit à l’université du Caire en 1955, il commença à travailler pour le magazine "the Egyptian weekly" "Rose al-Yousef" en tant que dessinateur. Quelques année plus tard, il rejoindra le nouveau magazine "Sabah el-Khair" et sera son éditeur en chef, plus tard il rejoindra le célèbre Al-Ahram "les Pyramides".
Poète égyptien (Le Caire 1930 – 1986).
Journaliste et caricaturiste au journal al-Ahrâm, il opte pour le dialecte égyptien, pour composer une poésie toute de simplicité et d'espoir dans les idéaux révolutionnaires de l'Égypte nassérienne (le Mot Salâm, 1955 ; Complainte pour un canal, 1956 ; De lune et de boue, 1961 ; Quatrains, 1963 ; Mélodies de septembre, 1984).
Cet article est extrait de l'ouvrage Larousse « Dictionnaire mondial des littératures ».
Merci.