Oui, tous à fait d'accord, article très intéressant que j'ai tenu absolument à mettre sur le forum...
Merci!
Oui, tous à fait d'accord, article très intéressant que j'ai tenu absolument à mettre sur le forum...
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Rebonjour Warrior
Ah oui ! très intéressant cet article, j'y reviendrai parce que là pas le temps de tout lire... Non, plutôt je vais me l'imprimer.
Rebonjour Warrior
Ah oui ! très intéressant cet article, j'y reviendrai parce que là pas le temps de tout lire... Non, plutôt je vais me l'imprimer.
(
Article écrit par Amaelle GUITON de slate.fr)
Tandis que les gouvernements européens sont à leur tour éclaboussés par les révélations d'Edward Snowden, les «petites mains» du réseau, elles, s'attellent à compliquer la tâche des agences de renseignement.
«Nous, les ingénieurs, avons construit l'Internet – et maintenant, nous devons le réparer.» Celui qui a lancé dans les colonnes du Guardian, le 5 septembre dernier, cet appel à se retrousser les manches n'est autre que l'expert en sécurité américain Bruce Schneier, chargé par le quotidien britannique d'analyser les documents transmis par l'ex-consultant Edward Snowden. Celui que l'on surnomme parfois le «Chuck Norris de la cryptographie» est loin d'être le seul à estimer qu'il est grand temps de passer la surmultipliée pour, comme il l'écrit, «rendre de nouveau la surveillance coûteuse».
L'accumulation des révélations sur les divers programmes – Prism, Bullrun, Tempora et consorts – mis en place par l'Agence nationale de sécurité américaine et le GCHQ, son équivalent britannique, a donné un coup de fouet à ceux qui dénonçaient (parfois depuis fort longtemps) l'existence d'une surveillance massive et systémique. Pour ceux-là –ingénieurs, experts en sécurité informatique, activistes du logiciel libre, groupes de défense des libertés civiles sur Internet...–, l'heure n'est plus au constat, mais à la contre-offensive.
La suite de l'article
ici
([i]Article écrit par Amaelle GUITON de [color=#333366]slate.fr[/color][/i])
[justify]Tandis que les gouvernements européens sont à leur tour éclaboussés par les révélations d'Edward Snowden, les «petites mains» du réseau, elles, s'attellent à compliquer la tâche des agences de renseignement.[/justify]
[url=http://www.servimg.com/image_preview.php?i=112&u=18516430][img]http://i57.servimg.com/u/f57/18/51/64/30/intern10.jpg[/img][/url]
[justify]«Nous, les ingénieurs, avons construit l'Internet – et maintenant, nous devons le réparer.» Celui qui a lancé dans les colonnes du Guardian, le 5 septembre dernier, cet appel à se retrousser les manches n'est autre que l'expert en sécurité américain Bruce Schneier, chargé par le quotidien britannique d'analyser les documents transmis par l'ex-consultant Edward Snowden. Celui que l'on surnomme parfois le «Chuck Norris de la cryptographie» est loin d'être le seul à estimer qu'il est grand temps de passer la surmultipliée pour, comme il l'écrit, «rendre de nouveau la surveillance coûteuse».
L'accumulation des révélations sur les divers programmes – Prism, Bullrun, Tempora et consorts – mis en place par l'Agence nationale de sécurité américaine et le GCHQ, son équivalent britannique, a donné un coup de fouet à ceux qui dénonçaient (parfois depuis fort longtemps) l'existence d'une surveillance massive et systémique. Pour ceux-là –ingénieurs, experts en sécurité informatique, activistes du logiciel libre, groupes de défense des libertés civiles sur Internet...–, l'heure n'est plus au constat, mais à la contre-offensive.[/justify]
La suite de l'article [url=http://www.slate.fr/monde/79450/mission-reparer-votre-internet-casse-surveillance][color=red][b][u]ici[/u][/b][/color][/url]