Bonjour Goélette,
je pense personnellement que c'est un peu tout ça à la fois et surtout pour faire peur. Dans quel but? Je ne sais pas vraiment. Mais en principe, celui qui a rien à cacher, n'a rien à craindre, non? Les journalistes font des articles à sensations car ils sont une cible potentielle.
Ce n'est que mon avis!
Au plaisir de vous lire
@++
Bonjour Goélette,
je pense personnellement que c'est un peu tout ça à la fois et surtout pour faire peur. Dans quel but? Je ne sais pas vraiment. Mais en principe, celui qui a rien à cacher, n'a rien à craindre, non? Les journalistes font des articles à sensations car ils sont une cible potentielle.
Ce n'est que mon avis!
Au plaisir de vous lire
@++
Bonjour
Toutes ces infos sur l'espionnage, la surveillance... ça me laisse perplexe. Ça sert à nous faire peur ? à "vendre" du "papier" (ou des clics) ? à motiver les chercheurs de solutions, alors qu'on sait bien que de toute façon, tout est "crackable" ? J'ai un peu le tournis en fait, et du mal à me faire une opinion. Vos avis ?
Bonjour
Toutes ces infos sur l'espionnage, la surveillance... ça me laisse perplexe. Ça sert à nous faire peur ? à "vendre" du "papier" (ou des clics) ? à motiver les chercheurs de solutions, alors qu'on sait bien que de toute façon, tout est "crackable" ? J'ai un peu le tournis en fait, et du mal à me faire une opinion. Vos avis ?
par
Loulou » lun. 4 nov. 2013 07:14
Merci de l'info, assez bonne idée je trouve (niveau plan sécuritaire) .
Merci de l'info, assez bonne idée je trouve (niveau plan sécuritaire) .
(
Article écrit par Solveig Godeluck de lesechos.fr)
Swisscom a compris tout l’intérêt qu’il y avait à tirer des récentes révélations sur l’espionnage massif de la NSA américaine.
Autrefois, il y avait des comptes en Suisse. On va bientôt pouvoir y ouvrir un « cloud », en toute légalité bien sûr. Le petit pays enclavé au sein de l’Union européenne pourrait profiter de sa législation très protectrice de la confidentialité des données pour faire prospérer ses « data centers » et ses services informatiques.
En effet, l’opérateur historique Swisscom est en train de construire une infrastructure distribuée pour le stockage de ses propres données et applications. D’ici à 2016, le groupe espère avoir placé 70 % de son système d’information dans ce « nuage » enserré entre les montagnes suisses. Mais ce « cloud » sera également ouvert aux clients de Swisscom, à des conditions concurrentielles par rapport à Amazon Web Services et IBM, assure la société. « La protection des données et de la vie privée est une tradition de longue date en Suisse », a expliqué à Reuters Andreas Koenig, le patron des technologies de l’information chez Swisscom, non sans émettre une réserve : « Mais si la loi l’exige et si un juge nous demande de recueillir ou de lui livrer certaines informations, nous serions évidemment obligés de nous y plier. »
Swisscom a compris tout l’intérêt qu’il y avait à tirer des récentes révélations sur l’espionnage massif auquel se livrent la NSA américaine et ses partenaires britanniques. L’opérateur, qui est le fournisseur des plus grandes banques de son pays, est déjà contraint par le régulateur financier de stocker toutes les données de ses clients en Suisse. Selon la « Basler Zeitung », le gouvernement suisse cherche encore d’autres moyens de mettre la place financière nationale, qui pèse plus de 2.000 milliards de dollars, à l’abri des grandes oreilles américaines.
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([i]Article écrit par Solveig Godeluck de [color=#333366]lesechos.fr[/color][/i])
Swisscom a compris tout l’intérêt qu’il y avait à tirer des récentes révélations sur l’espionnage massif de la NSA américaine.
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[justify]Autrefois, il y avait des comptes en Suisse. On va bientôt pouvoir y ouvrir un « cloud », en toute légalité bien sûr. Le petit pays enclavé au sein de l’Union européenne pourrait profiter de sa législation très protectrice de la confidentialité des données pour faire prospérer ses « data centers » et ses services informatiques.
En effet, l’opérateur historique Swisscom est en train de construire une infrastructure distribuée pour le stockage de ses propres données et applications. D’ici à 2016, le groupe espère avoir placé 70 % de son système d’information dans ce « nuage » enserré entre les montagnes suisses. Mais ce « cloud » sera également ouvert aux clients de Swisscom, à des conditions concurrentielles par rapport à Amazon Web Services et IBM, assure la société. « La protection des données et de la vie privée est une tradition de longue date en Suisse », a expliqué à Reuters Andreas Koenig, le patron des technologies de l’information chez Swisscom, non sans émettre une réserve : « Mais si la loi l’exige et si un juge nous demande de recueillir ou de lui livrer certaines informations, nous serions évidemment obligés de nous y plier. »
Swisscom a compris tout l’intérêt qu’il y avait à tirer des récentes révélations sur l’espionnage massif auquel se livrent la NSA américaine et ses partenaires britanniques. L’opérateur, qui est le fournisseur des plus grandes banques de son pays, est déjà contraint par le régulateur financier de stocker toutes les données de ses clients en Suisse. Selon la « Basler Zeitung », le gouvernement suisse cherche encore d’autres moyens de mettre la place financière nationale, qui pèse plus de 2.000 milliards de dollars, à l’abri des grandes oreilles américaines.[/justify]
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