C'est sûr que si le cryptage devient grand public, il ne restera pas longtemps très sûr! Comme le reste... c'est le jeu du chat et de la souris... (j'ai pas trouvé de souris...)
C'est sûr que si le cryptage devient grand public, il ne restera pas longtemps très sûr! Comme le reste... c'est le jeu du chat et de la souris... (j'ai pas trouvé de souris...)
par Invité » ven. 18 oct. 2013 22:10
Bonsoir,
Pas sur que la sécurité soit permanente avec tout ce que nous voyons aujourd'hui et surtout si le passage se fait pour le grand public = encore pire et je ne donne pas chère sur la sécurité après le passage si celui-ci est fait .
Certains doivent espérer que mais a la vitesse ou ca va ...
Un exemple ancien ici -
http://www.lemondeinformatique.fr/actua ... 54921.html
Bonsoir,
Pas sur que la sécurité soit permanente avec tout ce que nous voyons aujourd'hui et surtout si le passage se fait pour le grand public = encore pire et je ne donne pas chère sur la sécurité après le passage si celui-ci est fait .
Certains doivent espérer que mais a la vitesse ou ca va ...
Un exemple ancien ici - http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-la-nsa-veut-craquer-tous-les-systemes-de-chiffrement-54921.html
Jusqu'alors réservés aux dirigeants politiques, les téléphones ultra-sécurisés et cryptés arrivent pour viser PDG, avocats d'affaires, banquiers et journalistes échaudés par les révélations d'Edward Snowden et les risques d'espionnage économique.
Il y a deux semaines, le groupe informatique français Bull dévoilait "Hoox", son smartphone "hautement sécurisé" . (Voir article sur ce sujet).
Jeudi, le consortium portant le projet d'antivirus français Davfi a annoncé la sortie début 2014, pour le marché professionnel, de terminaux du commerce fonctionnant sous système d'exploitation Android, mais qu'il aura équipé de sa solution sécurisée cryptant la voix, les SMS, le système et les données.
Les téléphones seront vendus "pour quelques centaines d'euros supplémentaires" par rapport à leur prix habituel.
Ce marché jusqu'à présent ultra-confidentiel permet d'équiper en France le chef de l'Etat, certains ministres ainsi que des hauts fonctionnaires.
Alors, qui sont les clients non-gouvernementaux susceptibles de recourir à des téléphones hautement sécurisés? "Des responsables d'entreprises -et pas forcément du CAC40- des avocats, des banquiers, et aussi quelques journalistes", indique à l'AFP Robert Avril, fondateur de la société pionnière Cryptofrance, qui a lancé dès 2008 ses premiers téléphones cryptés.
"Depuis juillet, août, on n'a jamais été autant sollicités, avec des pics de visites extrêmement importants sur notre site. C'est lié à la reprise économique, mais aussi et surtout aux affaires Prism et NSA", indique-t-il, en allusion aux révélations d'Edward Snowden, sur l'ampleur d'un programme d'espionnage tous azimuts des Etats-Unis.
"On est dans un contexte de guerre économique, et ce marché a un vrai potentiel. Beaucoup d'entreprises qui travaillent notamment dans le secteur de l'innovation préfèrent prévenir que guérir et veulent se protéger, par exemple lorsqu'elles négocient un appel d'offres", souligne Robert Avril.
La sécurité est en train de devenir un argument de vente et une fonction de base que les acteurs mettent en avant.
Mais comment va s'organiser ce nouveau marché? "J'espère qu'il y aura de la place pour tout le monde! Bull avec son +Hoox+ est un concurrent complémentaire, on s'adresse au même marché, mais à un prix différent. Toute cette mouvance est extrêmement positive", juge Jérôme Notin, chef de file du projet d'antivirus français Davfi.
Source: AFP
[justify]Jusqu'alors réservés aux dirigeants politiques, les téléphones ultra-sécurisés et cryptés arrivent pour viser PDG, avocats d'affaires, banquiers et journalistes échaudés par les révélations d'Edward Snowden et les risques d'espionnage économique.
Il y a deux semaines, le groupe informatique français Bull dévoilait "Hoox", son smartphone "hautement sécurisé" . (Voir article sur ce sujet).
Jeudi, le consortium portant le projet d'antivirus français Davfi a annoncé la sortie début 2014, pour le marché professionnel, de terminaux du commerce fonctionnant sous système d'exploitation Android, mais qu'il aura équipé de sa solution sécurisée cryptant la voix, les SMS, le système et les données.
Les téléphones seront vendus "pour quelques centaines d'euros supplémentaires" par rapport à leur prix habituel.
Ce marché jusqu'à présent ultra-confidentiel permet d'équiper en France le chef de l'Etat, certains ministres ainsi que des hauts fonctionnaires.
Alors, qui sont les clients non-gouvernementaux susceptibles de recourir à des téléphones hautement sécurisés? "Des responsables d'entreprises -et pas forcément du CAC40- des avocats, des banquiers, et aussi quelques journalistes", indique à l'AFP Robert Avril, fondateur de la société pionnière Cryptofrance, qui a lancé dès 2008 ses premiers téléphones cryptés.
"Depuis juillet, août, on n'a jamais été autant sollicités, avec des pics de visites extrêmement importants sur notre site. C'est lié à la reprise économique, mais aussi et surtout aux affaires Prism et NSA", indique-t-il, en allusion aux révélations d'Edward Snowden, sur l'ampleur d'un programme d'espionnage tous azimuts des Etats-Unis.
"On est dans un contexte de guerre économique, et ce marché a un vrai potentiel. Beaucoup d'entreprises qui travaillent notamment dans le secteur de l'innovation préfèrent prévenir que guérir et veulent se protéger, par exemple lorsqu'elles négocient un appel d'offres", souligne Robert Avril.
La sécurité est en train de devenir un argument de vente et une fonction de base que les acteurs mettent en avant.
Mais comment va s'organiser ce nouveau marché? "J'espère qu'il y aura de la place pour tout le monde! Bull avec son +Hoox+ est un concurrent complémentaire, on s'adresse au même marché, mais à un prix différent. Toute cette mouvance est extrêmement positive", juge Jérôme Notin, chef de file du projet d'antivirus français Davfi. [/justify]
Source: AFP