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Article écrit par Nil SANYAS de pcinpact.com)
La Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) vient d’adresser une mise en demeure à un supermarché E. Leclerc ayant mis en place des dispositifs de surveillance des salariés particulièrement intrusifs. La société se servait de lecteurs d’empreintes digitales et de caméras de vidéosurveillance pour contrôler les horaires de ses salariés, de façon disproportionnée aux yeux de la gardienne des données personnelles. Explications.
C’est un avertissement très sérieux qui vient d’être adressé à la société exploitant le centre commercial E. Leclerc de Saint-Médard-en-Jalles (Gironde). Dans une délibération en date du 15 janvier dernier (PDF), et rendue publique hier par l’institution, la CNIL a en effet laissé un délai de deux mois à cette entreprise pour se mettre en règle suite à la constatation de nombreux manquements à la loi « Informatique et Libertés ». Dans le collimateur de la gardienne des données personnelles : deux dispositifs installés depuis plusieurs années, l’un reposant sur de la biométrie, l’autre sur de la vidéosurveillance.
Tout d’abord, la CNIL s’est penchée - suite à une plainte - sur des appareils de lecture d’empreintes digitales installés en 2004, et dont l’objectif était de contrôler l’accès à certaines pièces (zones sensibles où est entreposé le matériel électronique, les parfums...) et les horaires de travail des salariés. Différents problèmes ont finalement été mis à l’index par l’autorité administrative. Premièrement, l’employeur n’avait pas effectué les formalités administratives adéquates auprès de la gardienne des données personnelles. Il devra donc se mettre en règle sur ce point.
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pcinpact.com
([i]Article écrit par Nil SANYAS de [color=#333366]pcinpact.com[/color][/i])
[justify]La Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) vient d’adresser une mise en demeure à un supermarché E. Leclerc ayant mis en place des dispositifs de surveillance des salariés particulièrement intrusifs. La société se servait de lecteurs d’empreintes digitales et de caméras de vidéosurveillance pour contrôler les horaires de ses salariés, de façon disproportionnée aux yeux de la gardienne des données personnelles. Explications.[/justify]
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[justify]C’est un avertissement très sérieux qui vient d’être adressé à la société exploitant le centre commercial E. Leclerc de Saint-Médard-en-Jalles (Gironde). Dans une délibération en date du 15 janvier dernier (PDF), et rendue publique hier par l’institution, la CNIL a en effet laissé un délai de deux mois à cette entreprise pour se mettre en règle suite à la constatation de nombreux manquements à la loi « Informatique et Libertés ». Dans le collimateur de la gardienne des données personnelles : deux dispositifs installés depuis plusieurs années, l’un reposant sur de la biométrie, l’autre sur de la vidéosurveillance.
Tout d’abord, la CNIL s’est penchée - suite à une plainte - sur des appareils de lecture d’empreintes digitales installés en 2004, et dont l’objectif était de contrôler l’accès à certaines pièces (zones sensibles où est entreposé le matériel électronique, les parfums...) et les horaires de travail des salariés. Différents problèmes ont finalement été mis à l’index par l’autorité administrative. Premièrement, l’employeur n’avait pas effectué les formalités administratives adéquates auprès de la gardienne des données personnelles. Il devra donc se mettre en règle sur ce point.[/justify]
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