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Article écrit par Guillaume CHAMPEAU de numerama.com)
Selon une étude américaine, la moitié des adolescents et adolescentes envoient des SMS ou MMS à caractère sexuel sans en avoir envie, le plus souvent pour tenter d'entretenir une relation.
Au début du mois, un avis publié au Journal Officiel a fait entrer le terme "sexto" dans la langue administrative française. Mais bien que très répandue, la pratique qui consiste à envoyer des SMS ou des MMS à caractère sexuel n'est pas forcément toujours appréciée, non seulement par ceux qui les reçoivent, mais aussi par ceux qui les envoient.
C'est en effet la conclusion étonnante d'une étude publiée dans ScienceDirect par des chercheurs de l'Université Purdue Fort Waye, dans l'Indiana, qui ont voulu comprendre les mécanismes sociologiques qui amènent un adolescent à envoyer un message érotique ou pornographique à son (ou sa) petit(e) ami(e). Après avoir interrogé 155 lycéens qui s'adonnaient au sexting, les psychologues ont découvert que 55 % des jeunes femmes disent avoir déjà envoyé des sextos sans en avoir envie, et que c'était la même chose pour 48 % des jeunes hommes.
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numerama.com
([i]Article écrit par Guillaume CHAMPEAU de [color=#333366]numerama.com[/color][/i])
[justify]Selon une étude américaine, la moitié des adolescents et adolescentes envoient des SMS ou MMS à caractère sexuel sans en avoir envie, le plus souvent pour tenter d'entretenir une relation.[/justify]
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[justify]Au début du mois, un avis publié au Journal Officiel a fait entrer le terme "sexto" dans la langue administrative française. Mais bien que très répandue, la pratique qui consiste à envoyer des SMS ou des MMS à caractère sexuel n'est pas forcément toujours appréciée, non seulement par ceux qui les reçoivent, mais aussi par ceux qui les envoient.
C'est en effet la conclusion étonnante d'une étude publiée dans ScienceDirect par des chercheurs de l'Université Purdue Fort Waye, dans l'Indiana, qui ont voulu comprendre les mécanismes sociologiques qui amènent un adolescent à envoyer un message érotique ou pornographique à son (ou sa) petit(e) ami(e). Après avoir interrogé 155 lycéens qui s'adonnaient au sexting, les psychologues ont découvert que 55 % des jeunes femmes disent avoir déjà envoyé des sextos sans en avoir envie, et que c'était la même chose pour 48 % des jeunes hommes.[/justify]
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