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Article écrit par Xavier BERNE de pcinpact.com)
Les internautes ayant des usages illicites dépensent-ils plus dans la culture que ceux restant dans la légalité ? Voilà la question à laquelle devra répondre une étude que souhaite commander la Hadopi, qui met pour l’occasion 50 000 euros d’argent public sur la table.
La Hadopi a fait publier hier un avis de marché public afin qu’un prestataire puisse réaliser une nouvelle étude pour l’institution. Le sujet choisi par la Rue du Texel ? « Consommation illicite et dépenses culturelles ». Plus précisément, il est expliqué aux candidats potentiels qu’il s'agit de mener une étude quantitative censée répondre à la question suivante : « Est-ce que les consommateurs de biens culturels qui ont des usages illicites dépensent plus dans la culture (qu'il s'agisse de biens physiques ou dématérialisés) que les consommateurs ayant des usages licites ? »
En clair, la Hadopi voudrait savoir si ceux qui sont souvent présentés comme des « pirates », par exemple parce qu’ils téléchargent illégalement des films ou de la musique en peer-to-peer, vont ouvrir plus facilement leurs portefeuilles pour des biens culturels (merchandising, VOD, etc.) que ceux qui restent dans le droit chemin, parfois tout simplement parce qu'ils n'ont aucune consommation culturelle.
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pcinpact.com
([i]Article écrit par Xavier BERNE de [color=#333366]pcinpact.com[/color][/i])
[justify]Les internautes ayant des usages illicites dépensent-ils plus dans la culture que ceux restant dans la légalité ? Voilà la question à laquelle devra répondre une étude que souhaite commander la Hadopi, qui met pour l’occasion 50 000 euros d’argent public sur la table.[/justify]
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[justify]La Hadopi a fait publier hier un avis de marché public afin qu’un prestataire puisse réaliser une nouvelle étude pour l’institution. Le sujet choisi par la Rue du Texel ? « Consommation illicite et dépenses culturelles ». Plus précisément, il est expliqué aux candidats potentiels qu’il s'agit de mener une étude quantitative censée répondre à la question suivante : « Est-ce que les consommateurs de biens culturels qui ont des usages illicites dépensent plus dans la culture (qu'il s'agisse de biens physiques ou dématérialisés) que les consommateurs ayant des usages licites ? »
En clair, la Hadopi voudrait savoir si ceux qui sont souvent présentés comme des « pirates », par exemple parce qu’ils téléchargent illégalement des films ou de la musique en peer-to-peer, vont ouvrir plus facilement leurs portefeuilles pour des biens culturels (merchandising, VOD, etc.) que ceux qui restent dans le droit chemin, parfois tout simplement parce qu'ils n'ont aucune consommation culturelle.[/justify]
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