par WARRIORXAV - jeu. 24 oct. 2013 14:41
- jeu. 24 oct. 2013 14:41
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Samsung, numéro un mondial des téléphones portables, a été condamné jeudi à une amende symbolique par la justice taïwanaise pour avoir payé des blogueurs et des étudiants qui avaient dénigré son concurrent taïwanais HTC.
S'il ne fait pas appel, Samsung devra s'acquitter d'une amende de 10 millions de dollars taïwanais (247.000 euros), un montant dérisoire pour le groupe sud-coréen qui s'attend à engranger un nouveau bénéfice record de quelque 7 milliards d'euros au troisième trimestre.
L'enquête de la Commission pour le Commerce Juste à Taïwan a établi que Samsung, via sa filiale Opentide, avait recruté des personnes pour écrire des articles critiquant HTC et recommandant l'achat de ses téléphones.
Les auteurs, ainsi que des employés de Samsung, ont tu leur qualité en publiant leurs évaluations de One, le smartphone vedette de HTC. Ils faisaient état de défauts imaginaires dans les appareils de HTC et minimisaient ou démentaient des informations négatives sur les produits Samsung.
Un porte-parole de Samsung Taiwan interrogé par l'AFP s'est borné à indiquer que l'entreprise "regrettait vivement" la décision de justice.
Source: AFPS'il ne fait pas appel, Samsung devra s'acquitter d'une amende de 10 millions de dollars taïwanais (247.000 euros), un montant dérisoire pour le groupe sud-coréen qui s'attend à engranger un nouveau bénéfice record de quelque 7 milliards d'euros au troisième trimestre.
L'enquête de la Commission pour le Commerce Juste à Taïwan a établi que Samsung, via sa filiale Opentide, avait recruté des personnes pour écrire des articles critiquant HTC et recommandant l'achat de ses téléphones.
Les auteurs, ainsi que des employés de Samsung, ont tu leur qualité en publiant leurs évaluations de One, le smartphone vedette de HTC. Ils faisaient état de défauts imaginaires dans les appareils de HTC et minimisaient ou démentaient des informations négatives sur les produits Samsung.
Un porte-parole de Samsung Taiwan interrogé par l'AFP s'est borné à indiquer que l'entreprise "regrettait vivement" la décision de justice.