par WARRIORXAV - sam. 8 févr. 2014 13:06
- sam. 8 févr. 2014 13:06
#102158
(Article écrit par Xavier BERNE de pcinpact.com)
La France est le pays du monde à avoir obtenu le plus grand nombre de retrait de tweets au cours de l’année 2013. Plus d'une centaine de messages ont ainsi été bloqués sur demande notamment de la justice, mais aussi d’une association dont Twitter tait le nom. Explications.
Depuis l’été 2012, Twitter s’est mis dans les pas de Google en lançant lui aussi son « Transparency Report ». Le célèbre réseau social porte ainsi à la connaissance du public le nombre de demandes de retraits de tweets dont il a été saisi par la justice d’un pays, combien de requêtes de suppression pour des raisons de droit d’auteur il a reçu, etc. Ces chiffres, actualisés tous les six mois, viennent justement d’être mis à jour.
L’on apprend ainsi que du 1er juillet au 31 décembre 2013, Twitter a reçu de la France 309 demandes de retraits de tweets, lesquels avaient été publiés par 146 utilisateurs différents. Il y avait donc des cas de figure où plusieurs messages d’un même tweetos étaient dénoncés. Un peu plus d’un tiers de ces tweets ont été retirés (133 au total), ou plutôt « retirés de la vue des utilisateurs français ». En effet, dans la pratique, le réseau social ne supprime pas les tweets litigieux de sa base de données. Il se contente d’en interdire l’accès depuis la France, l’idée étant de respecter les législations et décisions de justice nationales.
La suite de l'article sur pcinpact.comL’on apprend ainsi que du 1er juillet au 31 décembre 2013, Twitter a reçu de la France 309 demandes de retraits de tweets, lesquels avaient été publiés par 146 utilisateurs différents. Il y avait donc des cas de figure où plusieurs messages d’un même tweetos étaient dénoncés. Un peu plus d’un tiers de ces tweets ont été retirés (133 au total), ou plutôt « retirés de la vue des utilisateurs français ». En effet, dans la pratique, le réseau social ne supprime pas les tweets litigieux de sa base de données. Il se contente d’en interdire l’accès depuis la France, l’idée étant de respecter les législations et décisions de justice nationales.