- mar. 8 mai 2012 16:23
#22159
Le .xxx manque de conviction, peu utilisé par les internautes et boudé par les industriels du secteur...
xxxL'ICANN et ICM Registry viennent de communiquer des chiffres concernant les réservations de noms de domaines en .xxx, et les premières analyses témoignent d'un succès tout relatif. En effet, même si 215.835 noms de domaines en .xxx ont été réservés, 82.976 l'ont été à titre préventif par des célébrités ou des marques.
Mais malgré les 132.859 réservations correspondant à des sites pour adultes, il n'y aurait que 27.555 sites en .xxx actuellement en ligne. Et sur Alexa, seuls 61 de ces sites sont classés parmi le million de sites les plus visités, alors même que ce classement compte un très grand nombre de sites pornographiques exploités en .com.
Ce n'est pas une surprise quand on sait que la plupart des acteurs de cette industrie refusent d'accorder leur confiance au .xxx qui, s'il a matière à les regrouper derrière une extension commune facilement repérable, les expose d'autant plus aux blocages du TLD (et même une censure pure et simple dans certains pays interdisant la pornographie comme l'Inde ou l'Arabie Saoudite).
Enfin, cela tend à démontrer une dernière tendance : si le .xxx ne convainc pas les professionnels, il ne convainc pas non plus les internautes qui sont très peu nombreux à entrer des URL se terminant par .xxx dans leurs navigateurs.
Source
xxxL'ICANN et ICM Registry viennent de communiquer des chiffres concernant les réservations de noms de domaines en .xxx, et les premières analyses témoignent d'un succès tout relatif. En effet, même si 215.835 noms de domaines en .xxx ont été réservés, 82.976 l'ont été à titre préventif par des célébrités ou des marques.
Mais malgré les 132.859 réservations correspondant à des sites pour adultes, il n'y aurait que 27.555 sites en .xxx actuellement en ligne. Et sur Alexa, seuls 61 de ces sites sont classés parmi le million de sites les plus visités, alors même que ce classement compte un très grand nombre de sites pornographiques exploités en .com.
Ce n'est pas une surprise quand on sait que la plupart des acteurs de cette industrie refusent d'accorder leur confiance au .xxx qui, s'il a matière à les regrouper derrière une extension commune facilement repérable, les expose d'autant plus aux blocages du TLD (et même une censure pure et simple dans certains pays interdisant la pornographie comme l'Inde ou l'Arabie Saoudite).
Enfin, cela tend à démontrer une dernière tendance : si le .xxx ne convainc pas les professionnels, il ne convainc pas non plus les internautes qui sont très peu nombreux à entrer des URL se terminant par .xxx dans leurs navigateurs.
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